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Il y a des mots qui touchent.
Et d’autres qui coupent.
Il y a des silences qui relient.
Et d’autres qui figent.
La qualité de nos relations dépend moins de ce que nous disons… que de la conscience avec laquelle nous le disons.
Car communiquer, ce n’est pas seulement parler.
C’est oser se montrer, oser écouter, oser entrer en lien vrai.
Dans un monde où tout va vite, où chacun cherche à convaincre ou à se protéger, la communication consciente est un acte de présence.
Cela demande de ralentir.
De ressentir avant de réagir.
D’oser dire sans blesser, et d’oser écouter sans se défendre.
Marshall Rosenberg, créateur de la Communication Non Violente (CNV), a posé les bases d’un langage du cœur, fondé sur l’observation, l’émotion, le besoin et la demande.
“Les mots peuvent être des fenêtres… ou des murs.” — M. Rosenberg
Communiquer de manière authentique, ce n’est pas réciter une méthode.
C’est une attitude intérieure qui s’apprend, se cultive et transforme les liens.
Cela implique :
Les travaux du Dr. Brené Brown, spécialiste de la vulnérabilité et de l’authenticité, montrent que les personnes capables de s’exprimer sincèrement, sans masque, créent des relations plus solides, durables et nourrissantes.
La psychologie humaniste, à travers Carl Rogers, souligne l’importance de la congruence (cohérence entre ce que l’on pense, ressent et exprime) pour créer un climat de confiance.
Des études en neurosciences sociales révèlent aussi que la qualité de la communication affecte directement notre système nerveux : les mots bienveillants activent les circuits de l’attachement, apaisent le stress et renforcent l’empathie.
“C’est quand j’ai cessé de vouloir avoir raison que j’ai commencé à vraiment entendre mon mari.” — Sophie, 39 ans
“J’ai appris à dire : ‘Je suis triste’, au lieu de crier ou de m’enfermer. Et tout a changé.” — Idriss, 47 ans
“Quand j’ai osé dire ma peur au lieu de l’attaquer, ma sœur s’est ouverte.” — Léa, 28 ans
Quand on parle vrai, avec le cœur, quelque chose change.
On ne sait pas toujours comment l’autre réagira…
Mais on sait qu’on est resté fidèle à soi.
Et cette fidélité-là guérit, éclaire, relie.
« Ce n’est pas la vérité qui blesse, c’est la manière de la dire. Et parfois, c’est aussi la peur de l’entendre. »